Même si Boris, 37 ans, n’est pas natif de la Haute-Saône, mais de Besançon, il se considère comme Haut-Saônois d’adoption et en est fier. Grand amoureux de la nature, il aime ramasser les champignons, pêcher et surtout travailler cette nature dans ses assiettes. Ce fervent défenseur de l’anti-gaspillage est un restaurateur fidèle envers ses producteurs locaux. Il considère sa cuisine comme "naturelle", proche des produits du terroir.
Norbert Tarayre, Gilles Goujon et Aurélie Chaigneau
Avec 55 autres chefs issus d’autres régions, Boris Monnin va devoir défendre sa cuisine locale derrière les fourneaux pour montrer que ses "petits ou grands plats" sont les meilleurs de France. Dans cette compétition, les chefs seront soutenus par des délégations de leurs départements ou régions où le chauvinisme va côtoyer le talent lors des dégustations. Pour les juger : Norbert Tarayre, chef cuisinier passionné des terroirs, Gilles Goujon, chef 3 étoiles et Meilleur ouvrier de France et Aurélie Chaigneau, critique culinaire.