"Alors que les troubles du sommeil sont très présents parmi les personnes ayant un trouble de l’usage d’alcool, ils sont aussi un frein à la réduction des consommations et augmentent les risques de rechute post-sevrage", explique le CHU.
En participant à cette étude, l’hôpital indique que "vous bénéficierez d’évaluations médicales concernant votre sommeil, vos consommations d’alcool, votre capacité physique, votre qualité de vie... et peut-être aussi de séances d’activité physique adaptée ; et vous contribuerez à faire avancer la recherche".