Il est étonnant qu’un « chercheur » puisse ainsi se permettre, à partir de données brutes, obtenues dans un cadre totalement étranger à la situation réelle, de tirer des conclusions sur la notation au baccalauréat.
Enfin, ces données brutes, destinées à un module de formation, ont été exploitées à d’autres fins par l’auteur et à l’insu des cadres de l’Éducation nationale.
Le recteur de Besançon va se tourner vers les CNRS pour que la clarté soit faite, tant sur la démarche scientifique de l’auteur, que sur les conclusions hâtives qu’il tire de cette étude ».