Dans les locaux de France Travail Besançon Planoise, les professionnels de la police nationale ont débuté cet événement par une présentation de leur métier.
Le commandant divisionnaire Sylvain Leblanc a ainsi pu présenter à la quinzaine de candidats présents les conditions de candidature pour entrer dans la police nationale en tant que policier adjoint. Les policiers adjoints ont pour principales missions de "seconder les gardiens de la paix". S’ils ne peuvent pas prendre part aux missions de la brigade anti-criminalité ou encore au maintien de l’ordre, ils sont en revanche, amenés à effectuer des missions de terrain toujours "sous la supervision d’un gradé". "On ne vous expose pas, on vous protège" a résumé le commandant divisionnaire.
Un emploi aux multiples avantages
Ce jour-là, les candidats au profil jeune et dynamique ne manquaient pas. Avec en moyenne 150 jours de travail par an, en raison d’une longue amplitude horaire de travail (12 jours), le métier de policier adjoint a la particularité d’attirer les jeunes car il "laisse la possibilité de faire autre chose ou de préparer autre chose" comme le "concours de gardien de la paix" a indiqué le capitaine Michel Perrin. Autre avantage, les candidats peuvent cette année choisir leur ville d’affectation.
Un policier adjoint et une jeune gardien de la paix étaient également présents pour présenter leur parcours et échanger avec les candidats.
Concernant le concours, celui-ci est composé d’un écrit, de tests psychotechniques et d’épreuves physiques éliminatoires. Mais le capitaine a tenu à rassurer les troupes : "lors du concours c’est surtout la motivation pour entrer dans la police nationale qui compte. Ceux qui voudront réussir, réussiront", a-t-il résumé.
Après quelques questions, les candidats inscrits ont ensuite pu prendre part à des entretiens individuels avec des fonctionnaires de police pour échanger avec eux sur leur métier.