Curieusement, seule la porte consacrée à dénoncer le wokisme a été bombée, "mais pas la vitrine qui réclame l'autonomie de la Franche-Comté" souligne Jean-Philippe Allenbach qui y voit là "la preuve, que les woksites ne supportent pas la critique".
Pour autant, le président du MFC n'est pas décidé à porter plainte, ni à nettoyer de sitôt les traces de vandalisme qui sont encore visibles. L'homme y voit plutôt une occasion de retourner la situation à son avantage en laissant "ce taggage en place pendant quelques jours afin que les Bisontins puissent eux-mêmes constater le caractère, à mon sens, "fasciste" des wokistes car prêts à tout pour faire taire ceux qui ne pensent pas comme eux".
Si le but était donc de réduire au silence le porte parole du MFC c'est raté. La porte sera bel et bien nettoyée de manière à rendre les affiches, placées à l'intérieur du local, de nouveau visibles parce que Jean-Phillipe Allenbach l'assure, "on n'est pas du genre à capituler au MFC !"