Le mouvement a été lancé par les ouvriers du Syndicat général du livre et de la communication (SGLCE-CGT), fraction née de l'éclatement du syndicat du Livre et majoritaire chez Presstalis.
Ce syndicat conteste la réorganisation de la Société de presse Paris service (SPPS), filiale chargée de la distribution parisienne, engagée par Presstalis.