Dans un communiqué de ce mardi, la candidate se demande si "Le Medef aurait-il craint de s’entendre demander des comptes sur les contre parties en emplois des millions d’euros de Crédit d’Impôt Compétitivité Emplois dont ont bénéficié les entreprises bourguignonnes et franc-comtoises ? Aurait-il préféré ne pas entendre parler de précarité, des 352000 pauvres de Bourgogne -Franche-Comté, dont certains ont un emploi, de dumping social, fiscal, et écologique ?"
Elle ajoute que "S’il tel est le cas, il a bien fait, puisque ces vilaines choses disparaissent des débats policés, c’est bien la preuve que la lutte des classes n’existe pas !"
Nathalie Vermorel n'est pas la seule mécontente. En effet, les candidats Christophe Grudler (Modem - liste dissidente), qui a tout de même décidé de s'inviter au débat et Sophie Montel (Front national), qui s'est dit "scandalisée" n'ont également pas été conviés. Seuls Marie-Guite Dufay (Parti socialiste) et François Sauvadet (UDI-LR) ont été invités.