Le cahier érotique Féros sort un nouveau numéro… encore plus féros

Après le succès de son premier numéro sorti en janvier 2016, un second numéro du cahier d’art contemporain érotique Féros, lancé par deux Bisontins, sortira début décembre. Deux soirées de lancement sont prévues à Besançon et à Dijon. Plus que jamais, ce nouveau cahier abordera le thème des fictions, et surfera sur la vague de l’onirisme jusqu’à l’aliénation physique… Nous avons posé nos questions à Clément Gagliano, l’un des créateurs de Féros.

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maCommune : Quels ont été les retours des lecteurs pour le premier numéro de Féros ?

Clément : "Plutôt positif. L'édition de qualité se fait rare, l'angle de vue est différent de tout ce que l'on peut voir actuellement sur le marché, apparemment." 

mC : Quand sortira Féros 2 ? Où le trouver, le commander ? Quel prix ?

Clément : "Plusieurs lancements sont prévus : le 4 décembre au Consortium à Dijon (avec une exposition des artistes du second opus courant jusqu'au 8 janvier), puis le 6 décembre, on s'allie à un événement à l'ISBA Besançon. D'autres soirées de lancement sont également prévues à Paris, Metz et Bruxelles en janvier 2017. 

mC : Que pourrons-nous y découvrir ? Quels artistes ?

Clément : "Toujours des artistes contemporains toujours ainsi que de jeunes auteurs de littérature érotique.

En plus, trois fétiches : un poster à partir d'une oeuvre de Paolo Giardi, une carte postale à partir d'une oeuvre d'Éric Pougeau, ainsi qu'un sceau en cire (les mille ont été coulés à la main et sont donc tous différents et uniques !) à partir d'une oeuvre de Carole Deltenre. Le tout est inséré dans un carton individuel. En bref, forme et contenu plus classe, et toujours plus Féros !" 

mC : Surfez-vous toujours sur les vagues de l'érotisme et l'art contemporain ?

Clément : "Plus que jamais. Nous abordons pour ce numéro le thème des fictions, on surfe sur les vagues de ce qu'on s'invente, de l'onirisme ponctuel jusqu'à l'aliénation physique." 

mC : En quoi sera-t-il différent du précédent numéro ?

Clément : "Plus d'artistes (25), des auteurs de littérature uniquement (une dizaine), un chercheur en philosophie (Florian Gaité) - la matérialité gagne en sensualité : nous utilisons trois papiers différents pour la couverture, l'intérieur et ses différentes parties. Le thème abordé est beaucoup plus précis également." 

mC : Êtes-vous toujours deux, avec Florence Andoka, à l'élaboration de ce nouveau cahier ou avez-vous étoffé l'équipe ?

Clément : "Nous ne sommes jamais seuls ! Florence et moi avons co-fondé la revue, je suis le seul éditeur, toujours suivi par les artistes et auteurs, ainsi qu'une directrice artistique. Toute une équipe sans qui rien ne serait possible." 

Infos pratiques

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