"Si j'avais su", aurait laissé entendre en privé le maire de Vesoul adoubé depuis plusieurs mois par les militants UMP pour regagner la Région Franche-Comté perdue en 2004.
C'était bien la peine de recevoir tant de fois et en grandes pompes, d'abord le candidat, puis le président dans la capitale haute-saônoise.
Quelle ingratitude élyséenne doit penser Alain Joyandet persuadé qu'il est "possible" de diriger une Région et occuper un maroquin ministériel.
Il ne lui reste donc plus que la prière...