Désigné par les militants francs-comtois de l’UMP pour se lancer dans la course des régionales de mars 2010, le maire de Vesoul a précisé qu’il faisait « les choses par passion » et qu’il était sûr que « c’est possible de tenir les deux fonctions ».
«Le moment n’est pas venu de trancher et, quand il sera venu, le président de la République tranchera et je me plierai à sa décision ».
Les déclarations de Xavier Bertrand et de François Fillon ne constituent donc pas pour Alain Joyandet une règle du jeu définitive et il semble compter sur « son ami » président pour en prendre le contre-pied.