"Comme son nom l'indique, elle a uniquement pour objet de leur permettre de pouvoir subvenir à leurs besoins de base", lance Jean-Philippe Allenbach dans un communiqué avant de poursuivre : "Elle est quasiment la même pour tous, soit environ 2 250 €/mois, un patron ne touchant guère plus que ses employés", précise-t-il.
Selon le président, les retraites "des riches" ne coûtent donc pas plus à l'État "que celles des pauvres", "contrairement à ce qui se passe en France où elles sont indexées sur les derniers salaires".
Rêveur, Jean-Philippe Allenbach imagine : "Si les hasards de l’histoire avaient fait que la Franche-Comté soit aujourd'hui canton suisse (tout comme Genève qui était un département français avant son rattachement à la Suisse) les retraités comtois s’y porteraient financièrement beaucoup mieux. Cela dit, il est vrai que chez nous, c'est beaucoup plus simple, un petit coup de 49/3 et tout est réglé !", ironise-t-il…