« Pour endiguer ce fléau, ne serait-il pas judicieux de mener des opérations de prévention dans les zones où la population souffre de nuisances et d’incivilités, dès la première alerte à la police? », s’interroge l’élu en proposant « une politique spécifique adaptée en faisant appel au savoir-faire des médiateurs et des correspondants de nuit pour agir sur le sentiment d’insécurité dans ces zones où la population silencieuse souffre, se sent isolée et est livrée à elle-même.
Michel Omouri sollicite « la présence physique des médiateurs pour faciliter la communication, régler les difficultés rencontrées par les habitants et gérer les conflits et des rondes et la veille des correspondants de nuit pour assister et protéger la population ».