MISE A JOUR A 18h15
Suite à un dépôt de plainte pour agression sexuelle d'une femme s'étant liée d'amitié avec un squatteur, les policiers ont procédé au contrôle d'identité d'une quinzaine de squatteurs roumains dans le bâtiment d'une propriété privée sur autorisation du juge des libertés.
Un homme, suspecté d'agression sexuelle, a été interpellé.
Mise à jour à 18 h 15 :
Selon les dernières informations concernant cette opération qui s'est déroulée ce matin, plusieurs squatteurs sans papier sont dans l'obligation de quitter le territoire français d'ici un mois ou de régulariser leur situation.
La police a contacté la municipalité ainsi que la préfecture du Doubs pour signaler les conditions insalubres du bâtiment squatté dans lesquelles ces personnes comptant également des enfants en bas âge, vivent. Dans cette période de trêve hivernale, la police ne les a pas expulsés.