Après avoir rencontré Jacques Grosperrin dimanche 23 mars à l'annonce des résultats du premier tour, Frank Monneur a ensuite rencontré Jean-Louis Fousseret. Il a décidé, avec ses colistiers, qu'il ne donnait aucune consigne de vote à ses électeurs.
Si F. Monneur dit avoir été bien accueilli par Jacques Grosperrin dont il a écouté les projets, il indique que lors des discussions avec Jean-Louis Fousseret, ce dernier "s'est comporté comme un monarque hautain, méprisant, ce que je dénonce fortement". Il ajoute qu"il ne mérite plus d'être le maire de cette ville", qu'il mène "une politique à l'ancienne" et que "la sécurité, ça ne l'intéresse pas, la piétonnisation du centre-ville, ça ne l'intéresse pas, les places en crèche, ça ne l'intéresse pas etc."
Au début de la discussion, Frank Monneur demandait huit places au conseil municipal, ce que le maire à refusé qui lui en a proposé deux, "mais ce n'est pas une question de place mais d'idées" a indiqué F. Monneur.
Par ailleurs, Didier Gendraud, colisitier de la liste "Besançon générations citoyennes" et qui est à l'origine de la création de la liste avec Frank Monneur, a indiqué que "dans l'intimité de l'isoloir, je sais ce que je ferai. (…) On est dans une élection où le parti compte mais l'homme aussi compte et j'aime bien les gens qui ont un esprit d'ouverture donc je voterai en fonction de cet esprit d'ouverture" .