Des propos qui devraient être plutôt mal reçus alors que se projetait la création d'un pôle métropolitain rassemblant Besançon, Montbéliard, Dijon, Chalon-sur-Saône et la communauté urbaine du Creusot-Montceau.
D'autant que l'élu dijonnais qui se disait prêt à voir un Bisontin le diriger (probablement le maire de Besançon) ferait en partie marche arrière aujourd'hui.
"Il pète les plombs"
Dans la classe politique comtoise, les premières réactions affluent. À l'instar du président du Mouvement Franche-Comté, Jean-Philippe Allenbach qui "demande au maire de Dijon de présenter immédiatement ses excuses officielles tant au maire qu'aux habitants de Besançon qu'il vient ainsi d'injurier scandaleusement."
Et d'ajouter à propos de François Rebsamen : "on ignorait [...] que, mentalement, il était susceptible de "péter les plombs" suite, peut-être, aux émanations nocives des emprunts toxiques de sa ville..."