Festival Drôlement Bien… c’est parti !

Après une deuxième édition accueillant plus de 18.000 spectatrices et spectateurs en 2024, le festival Drôlement Bien, premier festival d’humour de France, démarre ce jeudi 16 janvier à Besançon sur les chapeaux de roue avec des artistes très attendus. Ce mercredi soir l’équipe du festival et son fondateur Hamid Asseila, ont lancé officiellement la troisième édition au Casino Joa entourés de leurs partenaires et de la maire de Besançon, Anne Vignot. 

L'équipe du festival Drôlement Bien. © Adrien Touzot

”Rassembler des milliers de personnes autour du rire, un rêve devenu réalité”, a déclaré le directeur du festival. Au-delà de l’attractivité culturelle qu’engendre Drôlement Bien sur le territoire bisontin, c’est aussi ”un moteur économique” avec notamment pour conséquence ”des centaines de milliers d’euros” réinjectés dans l’économie locale, comme dans les hôtels, les restaurants, etc.

Si cet évènement est connu du grand public grâce aux spectacles d’artistes reconnus et émergents dans les différentes salles de villes, Hamid Asseila souligne l’importance de son volet social. Des artistes se produiront également devant des publics retenus comme c'est le cas pour des patient(e)s du CHU de Besançon et des personnes détenues à la maison d’arrêt. De plus, ”des places de spectacles seront offertes à des publics en difficulté économique”, précise le fondateur.

"Le rire est fondamental, il est un ciment de la société parce qu’on en a besoin"

Présente au lancement de cette troisième édition, Anne Vignot a qualifié le festival de ”nécessité” pour ”un temps de respiration puisque le rire est essentiel dans une société qui oublie de savoir rire, savoir rire de soi, de tous les humours”, a-t-elle déclaré. Elle a également félicité le volet social de l’événement : ”cette dimension sociale prise dès le départ est importante, la culture ne peut être que partagée et le rire est fondamental, il est un ciment de la société parce qu’on en a besoin.” Enfin, la maire de la ville a rappelé qu’elle soutiendra "la culture, toutes les cultures", en référence au budget 2025.

Hamid Asseila et Anne Vignot © Adrien Touzot

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