Intitulée "Agir pour l’égalité", cette nouvelle exposition dénonce les violations des droits humains des personnes LGBTI+, déconstruit les stéréotypes persistants et les idées reçues, et propose différentes manières d’agir pour lutter collectivement pour un monde plus égalitaire.
Un parcours en musique, un hommage à la diversité
La musique a toujours été une force dans la défense de l’égalité et de la justice. De nombreuses chansons portent en elles les histoires de courage, de résilience et d’espoir des personnes LGBTI+ et de leurs allié.es. Amnesty international a donc choisi d’utiliser des chansons connues ou moins connues pour rythmer l’expérience du public tout au long de l’exposition. En scannant, avec un smartphone, les QR codes situés en bas à gauche des panneaux musicaux, le public pourra écouter ou retrouver les chansons sélectionnées.
L’exposition sera visible à l’Hotel de ville située place du 8 septembre :
- les 17, 18 et 19 mai de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h
- les 20 et 21 mai de 10 h à 16h.
À la médiathèque Pierre Bayle :
- du 21 mai au 1er juin de 13 h à 19 h les mardi et jeudi, de 10h à 19 h les mercredi et vendredi. Le samedi de 10h à 12h puis de 14h à 18h
Films et marche militante
D’autres rendez-vous seront proposés, toujours dans le cadre de la Journée internationale contre l’homophobie :
- Le mardi 14 mai au FJT des Oiseaux 48 Rue des Cras à 20 h : Rafiki.
- Le Jeudi 23 mai à 20h30 au Petit Kursaal : Silent Love.
- Le Samedi 18 mai, la Marche militante de la gare d’eau et la fête de 18h à 23h. Village associatif à partir de 13 h à la gare d’eau.
Malgré de nombreuses avancées ces dernières années pour l’égalité des droits partout dans le monde, Amnesty International estime que les personnes LGBTI+ continuent d’être victimes d’injustices et de violences. Elle rappelle ainsi qu’en en 2024, "les rapports sexuels entre personnes de même sexe sont criminalisés dans plus de 60 pays. Les personnes LGBTI+ peuvent être condamnées à mort dans 12 pays. Les personnes transgenres sont criminalisées dans 20 pays. Et le travail du sexe est réprimé pénalement dans 150 pays".