Il juge cette décision "inacceptable" dans la façon même dont elle a été prise. "Arbitraire et sans cohérence", elle "met à mal l’action publique et républicaine".
Éric Alauzet conclut en demandant audience, avec le Maire de Besançon, auprès du Président de la République afin de revenir à la proposition initiale du gouvernement, en affirmant que : "la seule manière de restaurer un peu de confiance serait de remettre le Tribunal de commerce spécialisé à Besançon, comme prévu, et de mener rapidement une réflexion qui permette une répartition entre les deux régions de l’ensemble des services de l’Etat, de la région , des opérateurs et divers organismes partenaires de l’Etat qui soit globale, transparente et invariable."
Et d’ajouter : "sans cela, Monsieur le Président de la République, Besançon et la Franche-Comté resteront marquées d’une cicatrice qui mettra longtemps à s’effacer".