Contrairement au premier confinement, les soins de ville en en hôpital se poursuivent durant ce mois de novembre 2020 malgré le nouveau confinement. En effet, les différentes unions régionales des professionnels de santé invitent les patients à honorer leurs rendez-vous médicaux et paramédicaux, en ville comme à l’hôpital, et à poursuivre leur suivi médical pendant toute la période de confinement.
Pierre Pribile, le directeur général de l’ARS a bien demandéé? aux établissements de santé publics et privés de toute la région de procéder à la déprogrammation des activités non urgentes, pour permettre de prendre en charge le grand nombre de patients gravement atteints de la Covid-19 amenés à être hospitalisés dans les jours qui viennent. Mais il insiste sur le fait que ces déprogrammations relèvent de décisions médicales individuelles . "Il ne faut en aucun cas que les patients prennent l’initiative de déprogrammer leurs soins eux-mêmes, au risque de mettre leur santé en danger" indique-t-il dans un communiqué.
"La continuité des soins médicaux et paramédicaux est indispensable et ne peut être remise en cause que par un médecin qui évalue la situation de chaque patient..."
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Cet appel est par ailleurs relayé par les URPS (Unions régionales des professionnels de santé) médecins libéraux, infirmiers libéraux, pharmaciens, chirurgiens-dentistes, orthophonistes, masseurs-kinésithérapeutes, pédicures-podologues, biologistes, orthoptistes ainsi que les Conseils régionaux de l’Ordre des médecins, des chirurgiens-dentistes, des masseurs kinésithérapeutes, des infirmiers, des pédicures-podologues, des pharmaciens d’officine, le Conseil interrégional de l’ordre des sages-femmes, la Fédération hospitalière de France (FHF), la Fédération de l’hospitalisation privée (FHP) et la Fédération des établissements hospitaliers et d’aide à la personne privés non lucratifs (FEHAP)