La FSU «estime que les enjeux nécessitent une réaction unitaire forte et regrette que pour l'instant ses partenaires syndicaux ne poursuivent pas avec elle l'action nécessaire», les deux autres grandes fédérations, Unsa Education et Sgen-CFDT, ne l'ayant pas suivi à ce stade dans cette initiative.
Outre la dénonciation des suppressions de postes, la Fédération syndicale unitaire (FSU) demande «un collectif budgétaire qui permettrait d'assurer la prochaine rentrée scolaire dans de meilleures conditions pour les élèves», l'ouverture de discussions sur plusieurs réformes en cours et «l'amélioration des conditions de travail des personnels», notamment les non-titulaires.