Ces textes permettent une meilleure protection des derniers petits ruisseaux abritant les écrevisses à pattes blanches et les espèces patrimoniales présentes dans les mêmes milieux telles que le chabot, la salamandre tachetée, le sonneur à ventre jaune, la lamproie de Planer, la truite commune, etc....
L’écrevisse à pattes blanches est inscrite aux annexes 2 et 4 de la Directive « Habitats-Faune-Flore » de 1992, à l’annexe 3 de la Convention de Berne, elle est protégée au niveau national ainsi que les milieux particuliers qu’elle fréquente. Elle est notée comme étant une "espèce vulnérable" sur les Listes Rouges (Monde et France, cotation UICN).