Depuis la diffusion du portrait-robot de la victime dans l'appel à témoins national lancé le 11 janvier 2017, la section de recherches de Besançon a reçu une cinquantaine d'appels de signalement que les enquêteurs analysent minutieusement sans privilégier de piste particulière.
Des bénévoles de l'association des restos du Cœur de Besançon étaient pourtant persuadés de reconnaître, via le portrait-robot, une jeune femme d'origine bulgare. L'un d'eux l'avait même hébergé avec son compagnon l'an passé.
Les gendarmes ont recoupé les informations et ont finalement retrouvé cette femme de 33 ans qui a été vue il y a une semaine et qui ne correspondant donc pas au corps retrouvé à la mi-décembre dans un bois du Frasnois dans le Jura. De plus, la victime n'a jamais été enceinte, contrairement à la femme décrite par les bénévoles de l'association caritative.