« Ce fut un moment mémorable et affligeant ! », selon la CFDT qui estime que Patrick Bontemps, vice-président PS du conseil régional chargé du personnel, a nié les problèmes de dialogue social et repris « l’antienne bien connue des améliorations apportées par la Région aux agents des lycées ».
La CFDT souligne sur un blog qu’il a effectivement eu des améliorations (primes, NBI, visites médicales…) mais « qu’elles étaient toutes antérieures à la rupture du dialogue social depuis six mois qui est à l'origine du mouvement, et qu’il ne fallait pas tout ramener à des questions budgétaires : le respect et le dialogue ne coûtent rien mais n’ont pas de prix !».
Toujours selon la CFDT, toutes les organisations syndicales ont tenté de faire comprendre « le malaise des agents, la souffrance suscitée par les restructurations au siège, l’inquiétude forte des agents des lycées voyant que les congés maladie ne sont plus remplacés et craignant que les départs en retraite ne soient pas compensés ».
« Pendant toute cette réunion, nous avons assisté à la négation du malaise social et à la critique des actions menées par les organisations syndicales : en résumé négationnisme et mépris », conclut la CFDT qui doit réunir ce vendredi une intersyndicale pour évoquer la suite à donner au conflit.
La CFDT souligne sur son blog qu’il a effectivement eu des améliorations (primes, NBI, visites médicales…) mais « qu’elles étaient toutes antérieures à la rupture du dialogue social depuis six mois qui est à l'origine du mouvement, et qu’il ne fallait pas tout ramener à des questions budgétaires : le respect et le dialogue ne coûtent rien mais n’ont pas de prix ! ».
Toujours selon la CFDT, toutes les organisations syndicales ont tenté de faire comprendre « le malaise des agents, la souffrance suscitée par les restructurations au siège, l’inquiétude forte des agents des lycées voyant que les congés maladie ne sont plus remplacés et craignant que les départs en retraite ne soient pas compensés ».
« Pendant toute cette réunion, nous avons assisté à la négation du malaise social et à la critique des actions menées par les organisations syndicales : en résumé négationnisme et mépris », conclut la CFDT qui doit réunir ce vendredi une intersyndicale pour évoquer la suite à donner au conflit.