Les élus expliquent leur départ dans un communiqué de presse en argant qu’ils ont refusé de participer "non pas à une motion mais à trois motions présentées par la gauche et le FN " car elles avaient un "caractère national et non local : la COP22, le traité de libre-échange avec le Canada et l’accueil des migrants".
Selon eux, de nombreuses motions sont votées en fin de Conseil municipal, et seraient des "gesticulations d’estrade en fonction des caprices de Jean-Louis Fousseret". Se qualifiant d’élus de l’opposition républicaine, ils rappellent leur refus de prendre part à ce type de vote qui existe simplement "faire de l’esbroufe et se hausser du col".
De plus selon Jacques Grosperrin, chef de l’opposition LR et Philippe Gonon, président UDI au conseil municipal de Besançon, sont "indignés par les propos de Jean-Louis Fousseret et de ses futurs frères ennemis qui se servent du FN comme idiot utile pour donner l’illusion d’une union qui utilise l’amalgame et la stigmatisation à notre endroit".
Critiquer par la majorité, les élus de l’opposition ont décidé de réaffirmer le principe de solidarité avec les réfugiés fuyant les zones de guerre et de violences et de prôner une gestion humaniste mais rigoureuse de la question des migrants qui mérite le plus grand sérieux.
(Communiqué)