Pour les enseignants et les parents d’élèves, il s’agit toujours de lutter contre les réductions de moyens humains alloués par l’Etat à l’école publique, dénoncer la politique éducative actuelle et alerter sur les risques d’une école dont l’objectif n’est plus d’offrir une éducation réussie pour tous.
Un jeu de massacre était organisé devant la Préfecture pour symboliser les 35 suppressions de postes à la rentrée dans les écoles du département. En marche arrière les 500 manifestants se sont ensuite rendus place de la révolution pour le « printemps des écoles » entre discours, témoignages et musiques.
Ce soir à 18h30 le collectif parents/enseignants en colère se réunira dans une école du quartier Planoise pour réfléchir sur les suites à donner à ce rassemblement avec un même mort d’ordre « On ne lâche rien ! »