Mme Chirac avait été élue à une voix de majorité absolue. Elle avait recueilli en effet 1.114 voix sur 2.226 suffrages exprimés. Mais dans deux communes, il est apparu que le nombre de votants excédait d'une voix le nombre de signatures d'électeurs.
Le tribunal administratif a donc retenu "le nombre le moins élevé, c'est-à-dire celui des émargements, et a retiré deux unités au nombre de voix obtenu par" Mme Chirac.