Alors que Vincent affirmait à L’Est Républicain qu’il avait le soutien de son bureau directeur qui lui avait même demandé à l’unanimité de ne pas démissionner, plusieurs membres de ce même bureau ont fait savoir le lendemain au quotidien que leur président avait, une fois de plus, menti.
« Contrairement à ce qu’il a dit, il n’y a eu aucun signe de soutien à son égard », explique Denis Baud. « On ne peut pas laisser passer ça ! Le président a tenu des propos mensongers. Quand on a demandé à Vincent Diaz de démissionner, il a refusé arguant qu’il trouverait une solution financière sous 48h », affirme Patrice Bocquillon, autre membre du bureau à L’Est Républicain.
Autant de péripéties qui rapprochent le club du dépôt de bilan.