Vincent Diaz avait affirmé dans un communiqué : « Cette décision est donc incompréhensible, injustifiée et scandaleuse. Pour moi, cette commission d’appel est une république bananière qui justifie ses propres erreurs et sa propre légèreté par des réactions d’autoritarisme dignes d’un régime d’un autre monde ».
Des propos qui n’ont pas échappé à la Fédération qui a convoqué le président bisontin devant sa commission de l’éthique le 20 juillet.