« Le BRC est en danger de mort subite », disait Denis Baud dans les colonnes de L’Hebdo de Besançon mardi. Jeudi soir, après dix jours d'investigations, le président par intérim a capitulé et retransmis le ballon à Vincent Diaz « car c’est lui qui a conduit le club où il en est ».
Le déficit est désormais évalué à 600 000 euros. Comment se fait-il que personne n’a rien vu venir ? C’est la question toujours sans réponse qui est sur toutes les lèvres...
Denis Baud, qui n'accorde plus guère de crédit à Vincent Diaz, estime que la seule solution c’est le dépôt de bilan. Après le BBCD, le BRC!