Ils auraient ordonné la mise à mort de plus d'une centaine d'animaux protégés mais "ils réfutent les faits qui leurs sont reprochés ou les reconnaissent a minima". Peu importe pour la Fédération nationale des chasseurs (FNC), qui estime dans un communiqué que cette affaire "porte un préjudice considérable à l'image du monde fédéral et de la chasse en général". Elle précise d'ailleurs qu'elle compte se porter partie civile.
Par ailleurs, le président de la FNC, Bernard Baudin, "a demandé au président (de la fédération départementale de Haute-Saône) Robert Putz de ne plus siéger au conseil d'administration de la Fédération nationale des chasseurs pendant toute la durée de la procédure judiciaire."
(Source : AFP)