L'association "condamne et dénonce avec force et grande fermeté enlèvement des lycéennes nigérianes et les violences, physiques et morales qu’elles subissent de la part de leurs kidnappeurs", ont indiqué les responsables de la mosquée dans un communiqué.
Pour le vice-président du lieu de culte, Boudjemaa Goudjil, "ces actes inhumains portent atteintes aux préceptes de l’islam et choquent tous les musulmans. Toute invocation de principes religieux pour justifier ces ignominies ne saurait cacher les réelles motivations sectaires, mafieuses et crapuleuses de leurs acteurs".
Les membres de l’association A’Sounna, les musulmans de Besançon, de Franche-Comté et d’ailleurs demandent "la libération, immédiate et sans condition de ces jeunes filles".