Ces tags, survenus pendant la nuit, ne sont pas les premiers du genre. "L'an dernier déjà, des personnes avaient peints des symboles anarchistes" se rappelle le gardien des lieux. "La DRAC, propriétaire des lieux, avait porté plainte, mais les coupables n'avaient pas été retrouvés" se désole-t-il.
Le même schéma semble se profiler. "J'ai informé l'archevêque, et la DRAC va sans doute déposer une nouvelle plainte" conclut l'homme, qui devra attendre que des personnes "avec le matériel adéquat" effacent ces inscriptions.