"Le groupe Casino possède des liens historiques avec Besançon", précisent les députés, "400 emplois sont concernés par cette restructuration."
Laurent Croizier et Éric Alauzet réaffirment leur soutien aux salariés, "inquiets pour leur avenir et refusent que la restructuration en cours soit synonyme d’un démantèlement et d’une catastrophe sociale".
Dans un courrier, ils sollicitent l’action du ministre pour sauvegarder les emplois, l'avenir du groupe et l’entrepôt Easydis à Besançon.