"On sera en grève parce que les évaluations nationales : c’est non. On sera en grève parce que faire une rentrée avec une ministre démissionnaire, c’est un manque de respect et un mépris affiché pour notre école publique", écrit le FSU-SNUipp 25 sur sa page Facebook.
Autre point noir : la réforme du choc des savoirs : "On sera en grève parce qu’on veut l’abandon du choc des savoirs et des moyens pour une école publique de qualité", précise le syndicat qui s’est déja mobilisé autour d’autres syndicats pour dénoncer "un tri social" au détriment de la mise en place de "personnels supplémentaires et formés".