Maudits bestiaux ! Fatigués d'être malmenés par leur fermier, les voilà qui font la révolution et prennent en main leur destin. Une fois le fermier renvoyé et la ferme récupérée, il est maintenant temps de s'organiser. Et si tout semble pensé, l'autogestion n'est pas chose aisée.
Parmi les animaux, certains s'imagineraient volontiers meneurs du troupeau, et sans contestation s'il vous plaît ! L'idéalisme peut parfois être dévoyé par la corruption et le pouvoir, dans les histoires.
La Fleur du Boucan fait du bruit avec cette adaptation de l’œuvre écrite par Georges Orwell en 1943. Les objets du quotidien interprètent parfaitement les animaux de cette comédie politique, qui fait finalement froid dans le dos.