Laetitia Shériff + Mona Kazu à Echo System ce samedi
Publié le 06/10/2021 - 16:47
Mis à jour le 10/10/2021 - 10:31
Où ?
ECHO SYSTEM (SCEY-SUR-SAONE)
70360 Scey-sur-Saône-et-Saint-Albin
Itinéraire avec Ginko
Google Map
Quand ?
- Le samedi 9 octobre 2021 à 20:30
Tarifs
• Moins de 12 ans : 6€
• Abonnés : 7€
• Prévente : 12€
• Sur place : 14€
Offre Pass Comtois + e-Carte Avantages Jeunes + MGEN Avantage
Pour les détenteurs de ces cartes, 1 place achetée = 1 offerte sur réservation à caroline@echosystem.fr
Laetitia Shériff
Pop rock
Le quatrième album de Laetitia Shériff s’intitule Stillness, et il prend la forme d’un miroir.
Stillness parle du besoin de se retrouver. C’est un combat car, en ces temps troublés, tout nous éloigne de nous-même et tout nous disperse. Voilà pourquoi Stillness, s’il est recherche de calme et de sérénité, est aussi un cri de révolte contre tous les conditionnements, contre l’oubli et la passivité, qui sont les formes de l’abandon de soi.
Le titre pose une énigme : le calme dont il est ici question est à la fois celui de l’eau, qui doit s’apaiser pour refléter, mais aussi celui, trompeur, d’avant la tempête. Stillness est tour à tour apaisé et rageur, méditatif et envoûtant, ou férocement électrique. À l’image de Laetitia, figure remarquable d’une certaine scène pop rock où elle brille par sa longévité et sa constance, la sincérité de sa démarche, et une recherche toujours renouvelée.
À la fois retrouvailles avec soi-même et cri de révolte, Stillness est, comme tous les miroirs, à double tranchant : tourné vers soi, il nous redonne conscience. Retourné vers le monde et les autres, il pose une question : où est le reflet commun de notre humanité ?
+ Mona Kazu (1ère partie)
Dark post-wave
Entre tension sonique et onde mystique, l'univers de Mona Kazu puise son inspiration dans la noise, le jazz, l'indie rock, la coldwave... avec pour fil conducteur une voix habitée aux multiples facettes.
Leur 3e album « Steel Your Nerves » sort le 12 novembre 2021 sur Falls Avalanche Records, Urgence Disk Records et Atypeek Music. D'une apparente noirceur, Mona Kazu injecte une large palette de couleurs en vagues sonores et poétiques, où le combat (contre la bêtise, le patriarcat, l'apathie, ses démons…) côtoie l'onirique dans une volonté de dépassement par la beauté qu'on peut trouver en toute chose.
Pour son enregistrement, Priscille et Franck ont convié Régïs (Sons of the Desert, Olivier Mellano...), batteur au jeu inventif et d'une grande musicalité. Cette nouvelle formule les a menés dans une direction qu'ils souhaitaient prendre depuis longtemps : des compositions plus directes, privilégiant la sensibilité du jeu et l'émotion.