Atteindre les objectifs des accords de Paris (contenir l’augmentation de la température mondiale en dessous de 2°C) et ceux du Pacte Climatique de Glasgow (réduire l’émission des gaz à effet de serre de 45 % d’ici 2030), et mettre en œuvre la transformation nécessaire pour s’adapter aux changements climatiques requièrent que soient mobilisés des milliards d’euros annuellement. Ces besoins de financements colossaux interrogent le rôle de la finance. Des acteurs nouveaux entrent en jeu, les acteurs traditionnels semblent se mettre en ordre de marche et affichent une volonté de verdir leurs activités. Cependant cette mutation est complexe, source de débats non tranchés et de nombreux travaux en économie bancaire et financière. Elle se heurte à des risques importants, liés notamment à l’incertitude relative à ce nouvel avenir. Elle implique de nombreux acteurs et questionne le rôle des pouvoirs publics comme celui de tout individu.
Entrée libre dans la limite des places disponibles.