Dans un premier temps, deux ressortissants afghans ont reçu un message téléphonique et un SMS du meurtrier présumé de Razia dans lesquels il reconnaît avoir l'avoir tuée.
Par ailleurs, grâce à l'avis de recherche lancé par le parquet de Besançon, les forces de l'ordre ont pu l'intercepter 72 heures après le drame.
Dans la nuit de jeudi 1er au vendredi 2 novembre 2018, il a été localisé dans un train entre Budapest et Belgrade. Pendant ce temps, les autorité ont pu prendre les mesures administratives nécessaires à l'émission d'un mandat d'arrêt européen permettant son interpellation. Quelques heures plus tard, l'époux de Razia a pu être arrêté in extremis à l'aéroport d'Athènes. Il semblerait qu'il ait souhaité rejoindre l'Afghanistan ou l'Iran.
Il devrait être extradé dans moins de deux mois en France.