Cette requête avait été formulée le 5 novembre 2020 par les élus du groupe porté par Laurent Croizier, puis réaffirmée lors du deuxième anniversaire de la mort du professeur Samuel Paty, en octobre dernier.
"Nous nous félicitons que notre demande ait été enfin entendue. Il est du devoir la Nation de rendre hommage à ce professeur, assassiné par le terrorisme islamisme pour avoir enseigné la liberté d’expression, et de l’inscrire dans la mémoire française. La laïcité est un des joyaux de notre République. Samuel Paty en est devenu le visage et le symbole. Besançon s’honore par ce choix", affirment les élus Laurent Croizier, Nathalie Bouvet, Agnès Martin et Karima Rochdi.