Nul doute que le sortant de la 5e circonscription, Jean-Marie Binetruy, responsable départemental de l’UMP du Doubs et dont la suppléante depuis deux mandats n’était autre que Nathalie Bertin, aurait voulu que sa succession ne donne pas lieu à ce couac.
Il ne lui restait plus qu’à condamner cette candidature de « division » qui pour Nathalie Bertin constitue au contraire « une primaire » indispensable à droite face à une candidate désignée « sans consultation ».