Supervisés par Rémi Bastille, le préfet du Doubs, les contrôles ont été opérés sur 546 cars en cinq jours. Au total, deux conducteurs ont été testés positifs au dépistage de stupéfiants. Concernant l’alcoolémie, aucun conducteur n’a été testé positif.
Les contrôles ont également porté sur les éthylotests anti-démarrage (EAD) :
- 5,31 % des bus contrôlés n’avaient pas de dispositif EAD ;
- 1,47 % des bus contrôlés avaient un dispositif EAD défaillant.
Le préfet souhaite rappeler que "les entreprises de transport scolaire ont une responsabilité importante en matière de sécurité" : "la consommation de drogues peut constituer une faute grave si le salarié est sous l’emprise de stupéfiants pouvant entraîner une sanction disciplinaire qui peut aller jusqu’au licenciement".