En cause, selon l'association tatouage & Partage récemment reçue au ministère de la santé pour plaider la cause des tatoueurs, un des quatre tableaux figurant dans l'arrêté et listant les colorants que peuvent contenir les produits cosmétiques. "Ils ont tout simplement mal lu des tableaux, explique Cécile Chaudesaigues, secrétaire de l'association. On a décidé de prendre un spécialiste qui a repris les 3.600 pages des textes européens et de son application française, et on s'est rendu compte qu'il n'y avait rien à changer, l'arrêté était bon mais qu'on n'avait juste rien compris !".
"Le SNAT a fait TOUT le travail depuis 11 ans..."
Par ailleurs, le SNAT (syndicat national artistes tatoueurs), explique sur sa page Facebook que l'association Tatouage & Partage "tire encore la couverture en faisant un communiqué de presse auprès de l'Agence France Presse pour "se féliciter" d'avoir sauvé les couleurs.... QUEL DÉGOÛT ! Stéphane Chaudesaigues est le plus gros plagiaire de l'histoire du tatouage Français, nous en avons la nausée tellement ses techniques sont puantes...
Le SNAT a fait TOUT le travail depuis 11 ans... Le communiqué qui a réveillé les médias est le nôtre, comme chacun peut le vérifier lui même sur le site de l'AFP...
Nous avons trouvé la faille et ils s'en félicitent.... C'EST HONTEUX!
Mais comment peuvent ils se regarder dans un miroir ?
Les faits, les écrits et les actions sont là, l'histoire jugera..."
(Avec AFP)